CÉSAR 2021 : VICTOIRE DE LA NEGRÔLATRIE ET DE LA VULGARITÉ Cette cérémonie qui sent
l'aisselle de
togolaise n'intéresse plus grand monde. Déjà car le
cinéma français est une
amphore à purin dont les vapeurs
intoxiquent la France depuis quasiment son existence.
Contexte spécial oblige,
des traînées larmoyantes ont défilé pour pleurer sur leur misérable sort de
bourgeoises en RTT.
Ensuite,
Jean Baptiste Zadi remporte le César du meilleur espoir masculin.
Un noir particulièrement laid et simiesque aux chicots rayant le parquet
incarne l'espoir du cinéma français.
Ce coup de projecteur
juif lui a permis d'assomer les derniers blancs de la salle à coups de
culpabilisation et de
pitreries.
Plus tard,
Corinne Masiero, blanche usée par la
bite et les
clopes, actrice de films subventionnés, nous a livré une performance métaphorique.
Qu'elle nous montre son corps flétri ou non, les intermittents du spectacle, les producteurs, les acteurs, restent des ennemis de la civilisation blanche.