2021-09-24 11:58:01
Bilan du débat Melenchón-Zemmour (BFM, 23 septembre 2021)
1. Moïse a répété fort justement que la France était en danger, mais il n'a rien proposé de concret.
2. En fait, la distinction spécieuse que fait Moïse entre l'islam et les musulmans et la comparaison avec le judaïsme signifient qu'il veut que nous gardions tous les musulmans comme nous avons gardé tous les Juifs.
3. Évidemment, Moïse n'a jamais parlé de race. L'immigration congoïde ne le gêne pas.
4. Aucun des deux n'a dit un mot sur la tyrannie sanitaire. Cela signifie qu'ils l'acceptent.
5. Sur le climat, Moïse a vasouillé et n'a rien su rétorquer aux divagations de Melenchón.
6. Sur le fond, Moïse s'est montré incapable de répliquer à la rhétorique captieuse de Melenchón.
7. Il n'a jamais denoncé les délires et l'utopisme de Melenchón. Visiblement, ils étaient de connivence, le but étant de se mettre en valeur l'un et l'autre pour leurs électorats respectifs, qui sont parfaitement disjoints.
8. Il n'y a pas photo. Melenchón est un orateur remarquable qui s'est révélé infiniment supérieur à Moïse.
9. On notera avec intérêt les emprunts caractérisés de Moïse au CDH, par exemple quand il a qualifié Hervé Le Bras de Lyssenko.
10. Melenchón et Zemmour ont un point commun : ce sont deux immigrés d'Afrique du nord qui n'ont pas une goutte de sang français. Il est affligeant que la télévision ne trouve pas un Français de sang pour parler de la France.
1.1K viewsedited 08:58