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Nom d'un chien... dans les prochains jours, des tribunaux mili | Qlobal-Change France 🇫🇷

Nom d'un chien... dans les prochains jours, des tribunaux militaires internationaux se tiendront à Marioupol, en Ukraine. L'ambassade de Russie aux États-Unis a publié ce soir à 22h47 une déclaration sur la réaction du département d'État américain au prochain tribunal de Marioupol :

Nous avons pris note d'une nouvelle accusation infondée contre notre pays dans le cadre du tribunal sur les criminels de guerre ukrainiens.

Le procès à venir vise à traduire en justice des criminels de guerre, parmi lesquels se trouvent des nazis du régiment Azov. Washington a visiblement peur de rendre publiques les preuves des actes inhumains des membres de cette organisation terroriste.

Le Tribunal pénal international de Marioupol peut faire la lumière sur la véritable nature du régime de Kiev, dont les États-Unis s'appliquent à donner une image radieuse et héroïque. Les citoyens américains sauront enfin que leur gouvernement soutient en réalité ceux qui tuent et torturent délibérément le peuple russe dans le Donbass et en Ukraine.

La Russie respecte pleinement les Conventions de Genève et garantit aux prisonniers ukrainiens des conditions de détention adéquates. On ne peut pas en dire autant du régime de Kiev, qui a maltraité des soldats russes capturés.

Si les autorités américaines ont des questions sur les événements de Marioupol, elles pourraient en parler avec l'administration de la République populaire de Donetsk. C'est un État indépendant".

Euh... Pardon, quoi ? Le département d'État américain parle de tribunaux militaires russes pour les nazis ?

C'était difficile à trouver, mais voici la déclaration du département d'État américain publiée aujourd'hui :

"En planifiant de soi-disant 'tribunaux' à Marioupol, contrôlée par la Russie, contre les courageux défenseurs de l'Ukraine, le Kremlin tente de détourner la responsabilité de la guerre d'agression du président Poutine et de détourner l'attention des preuves accablantes des atrocités commises par les forces russes en Ukraine.

Les procès-spectacles prévus sont illégaux et bafouent la justice, et nous les condamnons fermement. Tous les membres des forces armées ukrainiennes, y compris les volontaires nationaux et étrangers incorporés dans les forces armées, ont droit au statut de prisonnier de guerre s'ils sont capturés et doivent bénéficier du traitement et de la protection correspondant à ce statut, conformément aux Conventions de Genève.

Nous demandons à Moscou de respecter ses obligations en vertu du droit international. Les États-Unis continueront à se tenir fermement aux côtés du peuple ukrainien lorsqu'il défendra sa liberté".

Le gouvernement Biden tente donc de délégitimer les tribunaux en amont, car les accusations russes pour ces crimes de guerre remontent jusqu'au sommet, y compris Biden lui-même pour la fabrication d'armes chimiques et biologiques ainsi que pour l'armement et le soutien des forces nazies ukrainiennes responsables de crimes de guerre et d'atrocités contre la population civile.

Les militaires russes affirment que les Etats-Unis et l'Ukraine ont peur des témoignages des prisonniers de guerre ukrainiens, car ils cimenteraient et dévoileraient davantage les crimes du régime de Kiev et de l'administration Biden.

Comme d'habitude, les médias occidentaux observent un silence radio total sur ce sujet, à l'exception de Reuters, qui publie un minuscule article à ce sujet, qui ne sera apparemment pas diffusé. Cet article est paru hier à 6 heures, heure de la côte Est, et je ne connais personne dans la communauté ou dans le monde occidental qui en ait parlé.